Archives par mot-clé : Idéologie

Colloque « Universitaires et directions partisanes », Saint-Denis, MSH Paris Nord, 14-15 novembre 2019

J’ai le plaisir de vous annoncer la tenue d’un colloque intitulé « Universitaires et directions partisanes : interactions, connexions et circulations contemporaines ». Co-organisé par David Copello et Manuel Cervera-Marzal, il aura lieu les 14-15 novembre 2019 à la Maison des Sciences de l’Homme MSH Paris Nord.

Dans ce cadre, ma communication, intitulée « Mutations sociologiques des élites partisanes et dévaluation de la ressource intellectuelle. Le cas du Parti socialiste des années 1990-2010 » portera sur les ressorts sociologiques présidant à la dévaluation de la ressource intellectuelle dans l’économie générale des pratiques partisanes et les transformations des relations entre universitaires et responsables politiques, à travers le cas du parti socialiste français et, en complément, quelques éléments tirés du cas du Parti travailliste britannique.

Argumentaire scientifique : Universitaires et directions partisanes – Argumentaire colloque

Programme détaillé : Programme_Universitaires et directions partisanes

Accès

  • Lieu du colloque : Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord, 20 avenue George Sand 93210 Saint-Denis.
  • Inscription obligatoire avant le 9 novembre 2019 : https://idps.univ-paris13.fr

JE « Démocratie et néolibéralisme », Lyon, ENS de Lyon, 17-18 octobre 2019

Ma dernière communication a eu lieu dans le cadre d’une journée d’étude très stimulante consacrée au thème « Démocratie et néolibéralisme » qui a eu lieu à l’ENS de Lyon les 17-18 octobre 2019. Co-organisée par Nathanaël Colin-Jaeger et Carolina Verlengia, cette journée d’étude a bénéficié du soutien du Laboratoire Triangle, de l’École doctorale ED 487 et du laboratoire junior LEOS.


Destituer les citoyens, contraindre les individus. Le néo-libéralisme contre la démocratie


Cette communication se propose d’interroger les rapports entre néo-libéralisme et démocratie sous deux angles. Dans une première partie, cette communication souhaite montrer que le néo-libéralisme atteint aux conditions mêmes de possibilité de la démocratie. D’une part, il limite le principe et le champ d’application de la souveraineté populaire afin que celle-ci ne puisse remettre en cause l’ordre spontané du marché. D’autre part, il rend la constitution d’un demos beaucoup plus compliqué en ce que le sujet néolibéral est en tension avec la figure du citoyen. Toutefois, le néolibéralisme n’est pas simplement autoritaire en tant que pouvoir destituant consistant à limiter la démocratie par le haut ou à en saper les fondements, par le bas donc, en substituant l’homo œconomicus au citoyen.

La seconde partie de cette communication cherchera ainsi à montrer qu’il est autoritaire par son exercice même du pouvoir étatique, en tant que gouvernementalité contraignant les individus et cherchant à en modeler/orienter le comportement. Dans cette perspective, deux éléments de la gouvernementalité néo-libérale – choisis en tant qu’ils constituent de bons révélateurs d’une forme d’autoritarisme soft – seront abordés : la dimension de contrôle/sanction/désincitation à l’œuvre dans les politiques dites de workfare ou d’activation, mises en place dans le cadre des politiques de l’emploi depuis les années 1980-1990, et les politiques de changement comportemental (behaviour change policies) qui constitue un nouveau champ des politiques publiques depuis les années 2000.


L’argumentaire scientifique et le programme détaillé de la journée d’étude sont disponibles sur le site du laboratoire Triangle ici : http://triangle.ens-lyon.fr/spip.php?article8830

Avis de parution: « La mise en politique des idées », Politix, 126 (2), octobre 2019

J’ai le grand plaisir de vous informer de la parution du n° 126 de la revue Politix dont j’ai coordonné le dossier intitulé « La mise en politique des idées » et consacré à l’histoire sociale des idées politiques en milieu partisan.

Vieux projet que j’avais en tête depuis plus de 10 ans, c’est là l’aboutissement d’une réflexion nourrie par mes propres recherches mais aussi des échanges collectifs au sein du groupe HiSoPo.


Présentation

La recherche sur les partis a longtemps accordé une place prépondérante à l’étude de leur doctrine et des débats ou affrontements d’idées en leur sein. Toutefois, à partir des années 1980-1990, elle s’est davantage focalisée sur leur dimension « entrepreneuriale » et/ou organisationnelle avec, en France, une attention particulière accordée à l’étude des propriétés sociales et des pratiques des acteurs partisans. Ce « tournant sociologique » a été fécond, permettant de rompre avec la doxa réduisant la vie politique à la confrontation de visions du monde portées par des organisations partisanes et d’après lesquelles s’orienterait le vote des électeurs. Il a eu néanmoins pour effet un désinvestissement de l’étude des idées partisanes comme objet de recherche. Les différentes contributions réunies dans ce dossier visent précisément à rouvrir ce chantier de recherche en s’intéressant aux idées produites et appropriées en milieu partisan dans la période contemporaine, que ce soit dans les instances officielles de production et de diffusion idéelle du parti en tant que tel (secrétariats nationaux aux idées, revue intellectuelles partisanes, Écoles de parti), de groupements en son sein (clubs para-partisans, revues de courant, etc.) ou à ses marges (clubs, think tanks, fondations politiques, syndicats, Université, etc.). Il s’agit plus précisément d’étudier la mise en politique des idées, c’est-à-dire les processus par lesquels celles-ci sont produites, circulent et/ou sont appropriées en milieu partisan. Qui sont les acteurs produisant les idées partisanes ? Où sont-elles élaborées ou appropriées ? Quels usages les acteurs partisans en font ? Quelle valeur est accordée au débat doctrinal et à la production intellectuelle et quelles formes d’intellectualité sont valorisées dans l’économie générale des pratiques partisanes ? Quels sont les processus concrets par lesquels les acteurs partisans élaborent des idées dans le parti et/ou traduisent en son sein des idées produites en dehors ? Voilà autant de questions aussi simples que fondamentales auxquelles les contributions réunies dans ce dossier entendent répondre, ouvrant ainsi la boîte noire de la fabrique idéelle en milieu partisan.


Contributions

  • Thibaut Rioufreyt, « La mise en politique des idées. Pour une histoire sociale des idées en milieu partisan », pp. 7-35.

  • Nicolas Azam, « Entre « croyance économique«  et contrainte partisane. Genèse et structuration de la section économique du PCF (1947-1961) », pp. 37-60.

  • Clémentine Fauconnier, « La mise en politique sans la mise en parti ? Le Centre de la politique sociale conservatrice comme entreprise doctrinale », pp. 61-83.

  • Mathieu Fulla, « Le parti, l’expert et les théories économiques. Le cas du Parti socialiste d’Épinay (1971-1981) », pp. 85-109.

  • Cécile Leconte, « La carrière militante du « grand remplacement«  au sein du milieu partisan de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) », pp. 111-134.

  • Rafaël Cos, « La carrière de « la sécurité«  en milieu socialiste (1993-2012). Sociologie d’une conversion partisane », pp. 135-161.


L’intégralité du dossier et du numéro (varias compris) est accessible gratuitement depuis le portail CAIRN via les abonnements institutionnels : https://www.cairn.info/revue-politix-2019-2.htm

Avis de parution: Fabien Escalona, La reconversion partisane de la social-démocratie européenne, Dalloz, 2018

J’ai le plaisir de vous annoncer la publication de l’ouvrage de Fabien Escalona issu de sa thèse, La reconversion partisane de la social-démocratie européenne, dans la collection « Nouvelle Bibliothèque de Thèses » chez Dalloz.

 

Résumé

Dans un monde capitaliste où le changement est la norme, la persistance des mêmes partis politiques doit être expliquée, tout autant que l’effondrement ou la disparition de certains. Pour résoudre cette énigme de la persistance partisane, très négligée dans la science politique, Fabien Escalona construit un modèle de la reconversion partisane, l’inscrivant dans le paradigme général de l’institutionnalisme historique. Ce modèle est utilisé dans une analyse approfondie de l’évolution de quatre partis emblématiques de la social-démocratie européenne : les travaillistes britanniques, les socialistes français, les sociaux-démocrates suédois et les sociaux-démocrates allemands. Ce travail est plus particulièrement centré, comme l’indique le sous-titre, sur la reconversion dans les années 1980-1990.

À travers la reconstitution minutieuse du sentier de dépendance de ces partis, la mise en évidence de l’importance du « régime social-démocrate keynésien d’après-guerre » et de la reconversion, que sa crise a rendue nécessaire, en régime social-démocrate de marché », Fabien Escalona retrace le long chemin qui a mené la social-démocratie d’un mouvement oppositionnel à une des principales forces de gouvernement en Europe occidentale.

La publication de ce travail était nécessaire à un double titre. Tout d’abord, il est particulièrement utile pour analyser et comprendre la situation très difficile de la social-démocratie depuis la crise économique et financière de 2008, question abordée à la fin de l’ouvrage. De plus, ce modèle de la reconversion partisane est également incontournable pour analyser l’histoire et la situation des autres forces politiques dans les pays occidentaux.

Vous trouverez ci-joint le flyer de l’ouvrage: Escalona_Fabien_La_reconversion_partisane

 

Séminaire « Le socialisme et le communisme aujourd’hui », Université Paris Nanterre, février-mars 2018

Pour information, vous trouverez ci-dessous le programme du séminaire « Le socialisme et le communisme aujourd’hui » qui aura lieu dans le cadre du Sophiapol à l’Université Paris Nanterre en février-mars prochain. Vous trouverez le programme détaillé et l’argumentaire ici: Séminaire_Le_socialisme_et_le_communisme _aujourd’hui.

 

Séminaire « Le socialisme et le communisme aujourd’hui« 

 

 

Organisation : Pierre Sauvêtre   psauvetre@parisnanterre.fr

Lieu : Université Paris Nanterre, Bâtiment D, Salle 201 b

 


PROGRAMME

Mardi 6 Février (16h-18h)

Bernard FRIOT (Professeur émérite de sociologie, Université Paris Nanterre, IDHES) : « Le déjà-là de la pratique communiste du travail en France »

Mercredi 14 Février (16h-18h)

Pierre DARDOT (Philosophe, chercheur associé au Sophiapol, Université Paris Nanterre) : « Le communisme des communs »

Mardi 20 Février (15h-17h)

Franck FISCHBACH (Professeur de philosophie à l’Université de Strasbourg, CREPHAC) :« Le renouvellement du socialisme »

Vendredi 23 Février (16h-18h)

Estelle FERRARESE (Professeure de philosophie à l’Université de Picardie Jules Vernes, CURAPP) : « Féminisme et socialisme »

Mercredi 7 mars (16h-18h)

Pierre CHARBONNIER (Chargé de recherche au CNRS, LIER): « Écologie et socialisme »

Mercredi 14 mars (16h-18h)

Alexis CUKIER (Directeur de programme au Collège International de Philosophie, chercheur associé au Sophiapol) : « Travail démocratique et socialisme »

Mercredi 21 mars (16h-18h)

Cyril LEMIEUX (Sociologue, Directeur d’études à l’EHESS, LIER) et Bruno KARSENTI (Philosophe, Directeur d’études à l’EHESS, LIER) : « Le socialisme comme fait social »

Mercredi 28 mars (16h-18h)

Pierre SAUVETRE (Maître de Conférences en sociologie, Université Paris Nanterre, Sophiapol) : « Communalisme et socialisme chez Murray Bookchin » et Mathieu LEONARD (Historien et journaliste) : « La Commune contre l’État – le communalisme, la voie oubliée du socialisme ? »

 

 

Avis de parution: « Un étrange échec… », Savoir/Agir, n° 42, janvier 2018

J’ai le plaisir de vous annoncer la parution en librairie demain du dernier numéro de la revue Savoir/Agir sur « Les gauches et l’économie » coordonné par Antony Burlaud et Frédéric Lebaron et auquel j’ai contribué.

Thibaut Rioufreyt, « Un étrange échec. La réception contrariée de la « Troisième voie » britannique dans la gauche socialiste française », Savoir/Agir, n° 42, numéro coordonné par Antony Burlaud et Frédéric Lebaron, janvier 2018.

 

Résumé de l’ouvrage

De la présidence Hollande au gouvernement Tsipras, la gauche de gouvernement paraît aujourd’hui incapable – et, sans doute, peu désireuse – d’affronter l’ordre économique établi pour inventer de nouveaux modèles.

En proposant une dizaine de contributions sur les discours et les pratiques économiques des partis de gauche – de l’ancienne LCR au PS, de la Libération à nos jours, de Paris à Athènes – ce dossier rappelle l’inventivité et l’audace économiques des années 1970, évoque les amendements, glissements et retournements de l’ère néolibérale, et s’attarde sur quelques-unes des questions économiques décisives qui, aujourd’hui, se posent à la gauche.

Plutôt que d’invoquer, pour expliquer les choix (et les non-choix) économiques de la gauche, les contraintes anonymes et implacables de l’Économie ou l’individualité faillible de tel ou tel dirigeant particulier, ce numéro s’efforce de relier ces choix à certaines conditions de possibilité proprement sociologiques : l’état de la concurrence politique ; la structure de l’expertise et les formes de l’autorité économique ; la nature des coalitions qui servent de base sociale aux politiques économiques.

En redonnant à ces variables sociales toute leur place, ce dossier espère favoriser une approche réaliste des politiques économiques et contribuer – pourquoi pas ? – à nourrir la réflexion stratégique et programmatique à gauche.

L’ouvrage est disponible en librairie et sur le site de l’éditeur: http://www.editions-croquant.org/les-collections/product/449-pdf-savoir-agir-n-42

Communication: « La réception de la « Troisième voie » dans la gauche socialiste française », ISP, 3 novembre 2017

J’ai le plaisir d’intervenir au séminaire de l’ISP (Institut des sciences sociales du politique) « Construction de l’État et genèses du politique » vendredi 3 novembre 2017:

Grandeur et décadence d’une entreprise de traduction politique. L’« échec relatif » de la réception de la « Troisième voie » britannique dans la gauche socialiste française

Résumé : Cette communication propose de revenir sur une enquête réalisée sur la réception des idées et des discours du New Labour britannique dans la gauche socialiste française entre 1994 et 2017. Il s’agira plus spécifiquement de revenir sur les différents facteurs expliquant l’échec relatif de l’importation du « blairisme » dans ce milieu partisan, à la fois liés aux modes d’intervention des néo-travaillistes dans l’espace politico-médiatique français et propres au champ politique français en général et au Parti socialiste en particulier. L’étude de ce cas empirique sera par ailleurs l’occasion de réfléchir sur ce qu’on entend par « échec » dans l’étude de la circulation transnationale des idées et sur la manière dont les sciences sociales du politique peuvent saisir ce type d’objets.

Discutants : Fabien Carrié et Cédric Plont.

La séance aura lieu le vendredi 3 novembre 2017 de 14h à 16h, à l’ISP, Université Paris-Nanterre, salle des séminaires au rez-de-chaussée du bâtiment Max Weber.

 

 

Avis de parution: « L’échec du quinquennat Hollande ou les impasses de la « Troisième voie » à la française », Mouvements, 28 mars 2017

J’ai le plaisir de vous annoncer la parution de mon dernier article publié sur le site de la revue Mouvements le 28 mars 2017 et qui s’intitule « L’échec du quinquennat Hollande ou les impasses de la « Troisième voie«  à la française ».

 

Pourquoi le social-libéralisme est une stratégie politique perdante en France alors qu’elle a permis au Parti travailliste de diriger le Royaume-Uni plus de dix ans ? Pourquoi François Hollande échoue là où Tony Blair remporte trois fois de suite les élections ? La comparaison de la situation française et britannique permet ainsi de saisir les facteurs sociaux et politiques structurels qui expliquent que François Hollande n’ait pu assumer son virage social-libéral et qui ont abouti à l’échec de son quinquennat. Ou quand la « Troisième voie » à la française mène à une impasse.


L’article est disponible en intégralité sur le site Internet de la revue Mouvements : http://mouvements.info/lechec-du-quinquennat-hollande-ou-les-impasses-de-la-troisieme-voie-a-la-francaise/

 

« Un héritier du blairisme peut en cacher un autre… De Valls à Macron », Lyon, Librairie Terre des Livres, 29 mars 2017

Je présente mon ouvrage Les socialistes face à la « Troisième voie » britannique. Vers un social-libéralisme à la  française (1997-2015) aux Presses universitaires de Grenoble, coll. « Libre cours politique » paru récemment, le mercredi 29 mars 2017 à la librairie Terre des Livres (Lyon).

Un héritier du blairisme peut en cacher un autre… De Valls à Macron

Rencontre avec Thibaut RIOUFREYT à l’occasion de la parution de Les socialistes français face à la « Troisième voie » britannique. Vers un social-libéralisme à la française (1997-2015), Grenoble, Presses universitaires de Grenoble (PUG), coll. « Libre cours politique », 2016.

« Parmi les leaders du centre-gauche en France, Manuel Valls et Emmanuel Macron sont ceux qui se sont le plus revendiqués du New Labour de Tony Blair, version british du social-libéralisme. En ce sens l’enquête menée par Thibaut Rioufreyt sur la réception de ce modèle britannique au sein du PS permet en retour de mieux comprendre l’actualité politique française. L’ancien Premier ministre et le leader d’En Marche sont d’accord pour l’essentiel sur l’économie et le social ; ils diffèrent en revanche sur la stratégie politique. Quand le premier a tenté de prendre la tête du PS pour lui imposer une rupture doctrinale profonde, le second a au contraire opté pour la stratégie de l’extrême-centre par delà gauche et droite en se passant du parti. Valls éliminé, reste à voir si la stratégie de Macron peut fonctionner alors que les sociaux-libéraux restent minoritaires en France. »

Rencontre animée par Philippe CORCUFF


L’événement aura lieu à20h15 à la librairie Terre des Livres : 86, rue de Marseille 69007 Lyon.

Vous pouvez également retrouver ces informations sur le site Internet de la librairie : http://www.terredeslivres.fr/les-rencontres/

Présentation de l’ouvrage Les socialistes face à la « Troisième voie » britannique, Marseille, Librairie Maupetit Actes Sud, 18 mars 2017

Je présente mon ouvrage Les socialistes face à la « Troisième voie » britannique. Vers un social-libéralisme à la  française (1997-2015) aux Presses universitaires de Grenoble, coll. « Libre cours politique » paru récemment, à la librairie Maupetit Actes Sud (Marseille).

 

L’événement aura lieu à 16h30 dans la Salle des rencontres de la librairie au 142 La Canebière 13001 Marseille (Métro/Tramway Noailles ou Réformés).


Vous pouvez retrouver ces infos sur le site Internet de la librairie ici: http://www.maupetitlibraire.fr/agenda.php?agenda=2485&date=20170300#361505